Données probantes comparatives entre l’estrogénothérapie transdermique et l’estrogénothérapie orale en contexte d’hormonothérapie féminisante

Détails

Question(s)

  1. Quelles sont l'efficacité clinique, l'efficacité et l'innocuité de l'estrogénothérapie transdermique par rapport à l'estrogénothérapie orale dans les soins d'affirmation de genre?
  2. Quelles sont les recommandations issues des lignes directrices fondées sur des données probantes concernant l'utilisation de l'estrogénothérapie transdermique dans les soins d'affirmation de genre?
  3. Quel est le rapport cout/efficacité de l'estrogénothérapie transdermique par rapport à l'estrogénothérapie orale dans les soins d'affirmation de genre?

Messages clés

  • Une hormonothérapie peut être prescrite aux personnes qui s’identifient comme transgenres, non binaires ou de genre non conforme et qui aimeraient que leur corps ou leur apparence reflète leur identité de genre.
  • Chez les personnes qui souhaitent suivre une hormonothérapie féminisante, la prise d’estrogènes est un traitement établi.
  • Diverses voies d’administration (façons de prendre l’estrogène) de l’hormonothérapie féminisante avec estrogènes sont possibles, notamment les voies orale (sous forme de comprimés) et transdermique (absorbée par la peau). Toutefois, l’efficacité clinique, l’efficience et l’innocuité comparatives des voies d’administration transdermique et orale ne sont pas clairement établies.
  • Les décisionnaires s’intéressent à la question de savoir si l’estrogénothérapie transdermique devrait être remboursée par les régimes publics (financement) en première intention, comme solution de rechange à l’estrogénothérapie orale, dans les soins d’affirmation de genre.
  • Au moyen d’un examen rapide, nous avons évalué les données probantes sur l’efficacité clinique, l’efficience, l’innocuité et le rapport cout/efficacité (valeur du point de vue humain ou du système de santé) de l’estrogénothérapie transdermique par rapport à l’estrogénothérapie orale dans les soins d’affirmation de genre.
  • Nous avons cherché des lignes directrices fondées sur des données probantes concernant le recours à l’estrogénothérapie transdermique ou orale dans les soins d’affirmation de genre.
    Nous avons recensé une revue systématique, trois études originales et quatre lignes directrices fondées sur des données probantes pertinentes pour cet examen. Nous n’avons trouvé aucune étude sur le rapport cout/efficacité ni aucun rapport des technologies de la santé pertinents.
  • La revue systématique n’a fait état d’aucun critère d’évaluation clinique prédéterminé en matière d’efficacité ou d’efficience, et n’a pas explicitement comparé l’innocuité de l’estrogénothérapie transdermique à celle de l’estrogénothérapie orale, ce qui limite toute conclusion relative à l’innocuité de ces produits dans les soins d’affirmation de genre.
  • Selon les études originales, l’estrogénothérapie transdermique présenterait moins de risques pour la santé cardiométabolique (affections touchant le cœur et le métabolisme, telles que crise cardiaque, obésité et diabète), et produirait des effets sur la santé osseuse et des effets féminisants (développement des seins, modification de la composition corporelle) semblables à ceux du traitement oral. Cependant, des critères importants pour la population visée, tels que la qualité de vie et les effets indésirables, n’ont pas encore été étudiés.
  • Les lignes directrices actuelles, qui s’appuient en grande partie sur des avis experts, recommandent l’estrogénothérapie transdermique chez les personnes de plus de 40 ou 45 ans, ou chez celles présentant un risque cardiovasculaire élevé, en commençant par une dose plus faible et en l’augmentant progressivement au besoin.
  • Les voies d’administration transdermique et orale semblent toutes deux sures, mais il n’est pas certain que l’estrogénothérapie transdermique procure les mêmes bienfaits, voire davantage, dans les soins d’affirmation de genre.
  • Les décisionnaires en matière de remboursement pourront prendre en compte le risque individuel de thromboembolie veineuse (caillots sanguins dans les veines) ou d’autres effets néfastes relevés par les personnes qui s’inquiètent des risques associés au traitement oral.
     

Données probantes comparatives d’hormonothérapies de la ménopause transdermiques et orales

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Question(s)

  1. Quelles sont l'efficacité clinique, l'efficience et l'innocuité de l'hormonothérapie de la ménopause transdermique par rapport à l'hormonothérapie de la ménopause orale dans le traitement des symptômes périménopausiques, ménopausiques et postménopausiques?
  2. Quelles sont les recommandations issues des lignes directrices fondées sur des données probantes concernant l'utilisation de l'hormonothérapie de la ménopause transdermique dans le traitement des symptômes de la périménopause, de la ménopause et de la postménopause?
  3. Quel est le rapport cout/efficacité de l'hormonothérapie de la ménopause transdermique par rapport à l'hormonothérapie de la ménopause orale dans le traitement des symptômes périménopausiques, ménopausiques et postménopausiques?

Messages clés

  • Une hormonothérapie peut être prescrite pour soulager les symptômes de la ménopause liés à une baisse du taux d’estrogènes dans l’organisme. Les symptômes de la ménopause peuvent varier en fréquence et en intensité. Ils comprennent généralement des symptômes vasomoteurs (souvent appelés bouffées de chaleur ou sueurs nocturnes), des troubles du sommeil et des changements d’humeur, et peuvent avoir une incidence sur la santé osseuse ou cardiaque et la qualité de vie en général.
  • Chez les personnes qui cherchent à atténuer ces symptômes, l’hormonothérapie de la ménopause (HTM) à base d’estrogènes (ou d’une combinaison d’estrogènes et de progestérone) est un traitement bien établi.
  • Diverses voies d’administration (façons de prendre l’estrogène) de l’HTM avec estrogènes sont possibles, notamment les voies orale (sous forme de comprimés) et transdermique (absorbée par la peau). Toutefois, l’efficacité clinique, l’efficience et l’innocuité comparatives des voies transdermique et orale ne sont pas clairement établies.
  • Les décisionnaires s’intéressent à la question de savoir si l’estrogénothérapie transdermique devrait être remboursée par les régimes publics (financement) en première intention, comme solution de rechange à l’estrogénothérapie orale, en contexte d’HTM.
  • Au moyen d’un examen rapide, nous avons évalué les données probantes sur l’efficacité clinique, l’efficience, l’innocuité et le rapport cout/efficacité (valeur du point de vue humain ou du système de santé) de l’estrogénothérapie transdermique par rapport à l’estrogénothérapie orale en contexte d’HTM.
  • Nous avons cherché des lignes directrices fondées sur des données probantes concernant le recours à l’estrogénothérapie transdermique ou orale en contexte d’HTM.
  • Nous avons recensé sept revues systématiques, quatre études originales et trois lignes directrices de pratique clinique pertinentes pour cet examen. Nous n’avons trouvé aucune étude sur le rapport cout/efficacité ni aucun rapport des technologies de la santé pertinents.
  • Selon les études retenues, l’estrogénothérapie transdermique réduirait les symptômes vasomoteurs, améliorerait le sommeil et présenterait un risque moindre de formation de caillots sanguins par rapport à l’estrogénothérapie orale. Les HTM transdermiques et orales peuvent améliorer la santé osseuse, et présentent des profils de risque semblables pour le cancer du sein et les cancers gynécologiques. Par ailleurs, l’HTM transdermique pourrait être un choix plus sûr pour les personnes présentant un risque de formation de caillots sanguins; les résultats sont toutefois contradictoires en ce qui concerne le risque de maladie cardiaque et d’accident vasculaire cérébral.
  • Selon les études retenues, l’HTM orale serait plus efficace pour améliorer le taux de cholestérol, mais pourrait augmenter le taux de triglycérides. En revanche, l’HTM produit des effets mixtes sur le taux de cholestérol, bien qu’il augmente également le taux de triglycérides.
  • Pour l’HTM, les recommandations issues des lignes directrices privilégient la voie transdermique à la voie orale pour répondre à certaines préoccupations liées au bienêtre sexuel, et pour réduire le risque de calculs biliaires, de caillots sanguins, d’accident vasculaire cérébral et de maladie cardiaque.
  • Les données probantes comparant les HTM transdermiques et orales sont limitées, en particulier pour ce qui est du soulagement des symptômes vasomoteurs et de l’amélioration de la qualité de vie liée à la santé et à la qualité du sommeil. Cependant, certaines études indiquent que l’HTM transdermique présenterait un risque plus faible de thromboembolie veineuse (caillots sanguins dans les veines).
  • Compte tenu de ces considérations en matière d’innocuité, les responsables des politiques pourraient envisager le remboursement de l’HTM, mais des recherches supplémentaires sont nécessaires pour étayer l’examen de son efficacité et de son rapport cout/efficacité.
     

Examen des données probantes sur la cerliponase Alfa (Brineura)

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Cet examen vise à recenser les nouvelles données probantes, parues depuis l’examen de 2019 du Comité canadien d’expertise sur les médicaments sur la cerliponase alfa (Brineura) dans le traitement de céroïdes-lipofuscinoses neuronales infantiles de type 2.

Le cabozantinib en traitement de deuxième intention de l’adénocarcinome à cellules rénales

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Question(s)

  1. Quelle est l'efficacité clinique du cabozantinib dans le traitement du carcinome àcellules rénales avancé ou métastatique chez les patients ayant a déjà reçu en première intentiondes inhibiteurs de points de contrôle immunitaire?

Messages clés

Quelle est la situation?

Les traitements par les inhibiteurs de points de contrôle immunitaire, en particulier ceux qui sont combinés en bithérapie, sont aujourd'hui d'usage fréquent dans le traitement initial du carcinome à cellules rénales (CCR) avancé ou métastatique.

Le cabozantinib est prometteur dans ce contexte. Actuellement, il est toutefois remboursé comme traitement de deuxième intention chez l'adulte atteint d'un CCR avancé ou métastatique qui a déjà reçu d'autres traitements ciblant le facteur de croissance de l'endothélium vasculaire, ce qui limite les possibilités de l'utiliser en deuxième intention dans certaines situations.

Il est nécessaire de comprendre l'efficacité clinique du cabozantinib utilisé après l'échec d'un traitement de première intention par les inhibiteurs de points de contrôle immunitaire (IPCI).

Qu'avons-nous fait?

Afin d'éclairer les décisions relatives à l'utilisation du cabozantinib chez l'adulte atteint de CCR avancé ou métastatique ayant déjà reçu des IPCI dans le traitement de première intention, nous avons cherché à recenser et à résumer les données probantes portant sur l'efficacité clinique du traitement de deuxième intention par le cabozantinib comparativement au sunitinib, à l'axitinib et au pazopanib.

Nous avons interrogé des ressources clés, dont des bases de données de références de revues, et avons effectué une recherche ciblée sur Internet pour trouver des données probantes pertinentes publiées depuis 2020.

Une personne examinatrice a passé en revue les articles en fonction de critères d'inclusion prédéfinis, a effectué une évaluation critique des publications retenues et a résumé les résultats.

Qu'avons-nous trouvé?

Une revue systématique, comportant deux études d'observation rétrospectives de petite taille, présente des données probantes en réponse à la question de recherche.

Des données rétrospectives limitées donnent à penser qu'un traitement de deuxième intention par le cabozantinib pourrait être associé à une survie sans progression (SSP) numériquement plus longue que celles du sunitinib et de l'axitinib, mais plus courte que celle du pazopanib.

De plus, le cabozantinib pourrait être associé à un taux de réponse objective plus élevé que ceux du sunitinib, de l'axitinib et du pazopanib.

Une étude rétrospective de petite taille indique que le cabozantinib est associé au taux d'abandon du traitement pour cause d'effets toxiques le plus faible par rapport au sunitinib, au pazopanib et à l'axitinib.

Nous n'avons pas trouvé d'études portant sur les taux d'évènements indésirables, la survie globale (SG) ou la qualité de vie.

Qu'est-ce que ça signifie?

Les décisionnaires doivent garder en tête la quantité et la qualité limitées des données probantes actuellement disponibles dans cette population. En raison du très faible degré de fiabilité des données probantes (petite taille de l'échantillon, devis rétrospectif, absence d'analyses statistiques), les décisionnaires qui choisissent entre les traitements de deuxième intention par le cabozantinib, le sunitinib, l'axitinib ou le pazopanib doivent tenir compte de facteurs comme l'expertise du personnel clinique ou les valeurs et les préférences des patientes et des patients.

Il faudra des études de qualité supérieure (comportant des échantillons de plus grande taille, des tests statistiques appropriés et une présentation transparente des résultats) pour bien guider la prise de décisions, comme des essais cliniques robustes et des études observationnelles prospectives bien montées, portant sur le traitement de deuxième intention par des inhibiteurs de tyrosine kinase, comme le cabozantinib.

Les cathéters de type Midline et l’administration de traitements par perfusion intraveineuse

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Question(s)

1.Quelle est l'efficacité clinique comparative des cathéters de type Midline et d'autres dispositifs d’abord vasculaire dans l’administration de traitements par perfusion intraveineuse?2.Que disent les lignes directrices fondées sur des données probantes au sujet des cathéters de type Midline et l’administration de traitements par perfusion intraveineuse?

Messages clés

Quelle est la situation?

  • Le traitement administré par perfusion intraveineuse, qu’il s’agisse de médicaments, de nutriments, de produits sanguins ou d’autres liquides, est un élément important des soins cliniques en établissement de santé.
  • Le traitement administré par perfusion intraveineuse fait appel à différents types de dispositifs d’abord veineux, notamment les dispositifs périphériques ou centraux. Il est essentiel de choisir le dispositif le plus approprié pour assurer le confort et la sécurité des patients.
  • Les cathéters de type Midline, un dispositif périphérique, sont de plus en plus utilisés à la place d’autres cathéters veineux périphériques ou de dispositifs d’abord veineux central. Toutefois, l’hétérogénéité des pratiques cliniques et l’incertitude entourant leur utilisation optimale posent problème au personnel clinique et aux responsables de politiques quant à la normalisation des soins.

Qu’avons-nous fait?

  • Cet examen rapide vise à résumer et à évaluer d’un œil critique les études disponibles sur l’efficacité clinique des cathéters de type Midline, comparativement à celle d’autres dispositifs d’abord vasculaire, pour appuyer la prise de décisions concernant ce type de cathéters dans l’administration de traitements par perfusion intraveineuse. Nous avons également cherché à relever les lignes directrices fondées sur des données probantes concernant les cathéters de type Midline dans l’administration de traitements par perfusion intraveineuse.
  • Nous avons interrogé des ressources clés, y compris des bases de données de références de revues, et avons effectué une recherche ciblée sur Internet pour trouver des données probantes pertinentes publiées depuis 2020. Deux personnes examinatrices ont passé en revue les articles en fonction de critères d’inclusion prédéfinis, ont effectué une évaluation critique des études retenues et ont rédigé un résumé narratif des résultats.

Qu’avons-nous trouvé?

  • Nous avons relevé huit revues systématiques (RS) évaluant l’efficacité clinique des cathéters de type Midline comparativement à celle des cathéters centraux insérés par voie périphérique (CCIP) (sept RS) et à celle des cathéters veineux centraux (une RS) dans l’administration de traitements par perfusion intraveineuse, de même que cinq lignes directrices fondées sur des données probantes formulant des recommandations sur les indications appropriées du recours aux cathéters de type Midline.
  • Comparativement aux CCIP, les cathéters de type Midline pourraient être associés à un taux total plus élevé de complications, de thromboembolies veineuses liées au cathéter, de fuites du cathéter, d’arrêt du traitement ou de retrait prématuré du cathéter, d’infiltration et de durée moyenne réduite de fixation du cathéter. De plus, les cathéters de type Midline sont associés à un taux réduit d’infections sanguines liées au cathéter. Aucune RS retenue n’a permis de détecter de différences statistiquement significatives entre les cathéters de type Midline et les CCIP en ce qui concerne la phlébite, l’occlusion ou le déplacement du cathéter, ou encore la mortalité.
  • Par rapport aux cathéters veineux centraux, les cathéters de type Midline sont associés à un taux total plus faible de complications, de thromboses et d’infections liées aux cathéters, de même que d’obstruction des cathéters. En outre, la durée de fixation du cathéter qui y est associée est plus longue. Les RS qui portent notamment sur cette comparaison ne révèlent aucune différence statistiquement significative en matière de phlébite, de fuite du cathéter ou de déplacement du cathéter.
  • Même si des différences statistiquement significatives ressortent de certaines RS entre les cathéters de type Midline et d’autres dispositifs d’abord veineux, les résultats sont variables dans les études retenues. Ce ne sont pas toutes les RS qui montrent une différence statistiquement significative entre les groupes pour chacun de ces critères d’évaluation.
  • La qualité des RS décrites dans cet examen rapide, ainsi que la qualité des études originales de la RS, était limitée. La plupart des données probantes cliniques résumées dans cet examen proviennent d’études non randomisées de qualité faible à modérée qui pourraient être influencées par un biais de sélection, un biais de confusion et un biais d’exécution.
  • Nous n’avons pas trouvé d’études répondant aux critères de cet examen sur l’efficacité clinique des cathéters de type Midline comparativement à celle d’autres dispositifs d’abord vasculaire, dans l’administration de traitements par perfusion intraveineuse.
  • Des lignes directrices fondées sur des données probantes et reposant, pour la plupart, sur des données de faible qualité ou sur des avis experts recommandent d’envisager l’utilisation de cathéters de type Midline dans diverses circonstances cliniques, notamment chez les enfants et les adultes ayant besoin d’un dispositif d’abord veineux périphérique de longue durée (p. ex. jusqu’à quatre semaines). De plus, des orientations recommandent d’éviter les cathéters de type Midline dans l’administration en continu d’un vésicant, d’alimentation parentérale ou de solutions de pH ou d’osmolarité extrêmes, ainsi que chez les patients ayant des antécédents de thrombose, d’hypercoagulabilité, de diminution du retour veineux aux extrémités, d’insuffisance rénale terminale nécessitant la préservation des veines, et chez les patients présentant une fistule artérioveineuse ou chez lesquels un greffon artérioveineux est prévu.

Qu’est-ce que ça signifie?

Les professionnels de la santé et les décideurs peuvent se servir de ces données probantes pour éclairer les décisions concernant l’utilisation appropriée des cathéters de type Midline dans l’administration de traitements par perfusion intraveineuse.

Les lignes directrices fondées sur des données probantes actuelles vont dans le sens de l’utilisation de cathéters de type Midline dans certaines circonstances cliniques, après avoir pris en compte le type de traitement et sa durée prévue, de même que les besoins particuliers du patient.

Pour confirmer l’efficacité clinique des cathéters de type Midline par rapport à celle d’autres dispositifs d’abord, il faudra davantage de recherche de grande qualité issue d’études rigoureuses où la déclaration des résultats serait améliorée.

La planification de la mise en place de nouveaux services de TDM en milieu rural et éloigné au Canada

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Les services de tomodensitométrie (TDM) sont essentiels au diagnostic de plusieurs affections au Canada. L’accès à ces services est compliqué par la disponibilité limitée des appareils, la forte demande et les longs délais d’attente. On peut constater des défis supplémentaires dans les localités rurales et éloignées, étant donné que les services sont souvent situés dans les grands centres urbains.

L’efficacité comparative de la télééchographie en temps réel et de l’échographie en personne

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La télééchographie en temps réel peut être pratiquée par divers professionnels de la santé possédant peu ou pas de formation en échographie, sous les conseils d’un spécialiste de l’imagerie. Le recours à cette technologie se répand dans différents domaines cliniques; cependant, on ne connait toujours pas avec certitude son efficacité clinique par rapport à l’échographie classique en personne.