Cette revue systématique a pour but de déterminer l’efficacité théorique et clinique ainsi que l’innocuité de l’omalizumab administré pendant 24 semaines ou plus chez des patients atteints d’urticaire chronique idiopathique. On cherchera également à caractériser les patients qui prennent l’omalizumab pendant plus de 24 semaines.

En contexte réel, on observe que l’omalizumab est utilisé de façon prolongée. Les données probantes serviront à déterminer le bienfondé de cette pratique chez les patients atteints d’urticaire chronique idiopathique.

Plusieurs organismes de règlementation ont mis en place des processus visant à faciliter l’accès rapide à de nouveaux traitements pour les patients ayant d’importants besoins médicaux non comblés. Ces processus s’appliquent à des traitements pour lesquels les données probantes sont assorties d’importantes incertitudes au moment de l’évaluation initiale et pour lesquels on attendrait habituellement la production de données probantes supplémentaires.

Les dispositifs portables, comme les montres, les bracelets et les timbres, pourraient aider à freiner la propagation de la COVID-19. Ces technologies pourraient favoriser la détection précoce des symptômes, tout particulièrement en combinaison avec un suivi étroit des contacts. Elles pourraient aussi servir à surveiller les patients à distance, limitant ainsi l’exposition des travailleurs de la santé au virus. Ce bulletin se penche sur différents dispositifs portables dans le contexte de la pandémie de COVID-19.

Cet examen rapide visait à répertorier les données probantes et les lignes directrices fondées sur des données probantes au sujet de la scintigraphie ventilation-perfusion dans le diagnostic de l’embolie pulmonaire durant la pandémie de COVID-19. Comme cette intervention occasionne souvent de la toux, certains s’inquiètent quant à son éventuel rôle dans la transmission de l’infection du patient au fournisseur de soins. Nous n’avons toutefois pas trouvé de données probantes ni de lignes directrices fondées sur des données probantes à ce sujet.

L’Agence des médicaments du Canada a réalisé une recherche documentaire limitée visant à repérer des technologies qui pourraient servir à atténuer les effets néfastes de l’isolement social chez les personnes âgées en milieu de soins de longue durée. Ce rapport propose une liste de technologies encourageant l’interaction et la communication, notamment des compagnons ou animaux de compagnie robotiques, des jeux actifs et non actifs, et des outils de communication. La disponibilité au Canada est précisée, le cas échéant.

Étant donné les restrictions imposées aux visites en centre de soins de longue durée dans l’espoir de réduire la transmission de la COVID-19, les établissements ont dû trouver de nouvelles façons de maintenir la communication avec les partenaires de soins essentiels des résidents.

Ce rapport résume la documentation repérée portant sur les stratégies de communication mises en œuvre durant une pandémie ou une éclosion afin de faciliter les échanges entre les établissements et les partenaires de soins essentiels.

Ce bulletin se penche sur les avancées récentes dans le dépistage de la COVID-19. Le dépistage est important pour freiner la progression du virus. Il y a un besoin de tests pouvant générer des résultats rapides. Cette publication résume les données probantes sur les tests antigéniques rapides au point d’intervention, notamment sur les pratiques en cours, la disponibilité au Canada, les couts et l’innocuité.

Les difficultés posées par la pandémie de COVID-19 ont suscité de l’inquiétude quant à la résilience et au bienêtre des préposés aux bénéficiaires non règlementés dans les établissements de soins de longue durée. Ce rapport résume la documentation repérée sur les interventions mises en œuvre pour améliorer le bienêtre de ces personnes.

La pandémie de COVID-19 a forcé les gens à se tourner en masse vers les visites virtuelles et a prouvé qu’il était possible d’offrir des soins efficaces de cette façon. Le risque d’exposition au virus et de transmission demeure, et il est peu probable que la demande pour un accès virtuel aux fournisseurs de soins de santé diminue dans l’immédiat et après la crise; le système de santé doit donc se pencher sur des mécanismes qui permettront d’intégrer de façon optimale les visites virtuelles à titre de mode de prestation de soins ordinaire.