Au Canada, plusieurs traitements pharmacologiques sont autorisés dans la prise en charge de la COVID 19 causée par le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS CoV 2). La revue systématique rapide a évalué l’efficacité théorique, l’efficacité clinique et l’innocuité du remdésivir dans le traitement de la COVID-19 chez l’adulte non hospitalisé, dans les systèmes de santé du Canada ou de pays ayant une économie comparable à celle du Canada.
Au Canada, plusieurs traitements pharmacologiques sont autorisés dans la prise en charge de la COVID 19 causée par le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS CoV 2). La revue systématique rapide a évalué l’efficacité et l’innocuité du remdésivir dans le traitement de la COVID 19 chez l’adulte et l’adolescent hospitalisé, dans les systèmes de santé du Canada ou de pays ayant une économie comparable à celle du Canada. Nous avons également caractérisé quels sont les patients hospitalisés les plus susceptibles de tirer avantage du traitement par le remdésivir.
Au Canada, plusieurs traitements pharmacologiques sont autorisés dans la prise en charge de la COVID-19, causée par le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2). Cette revue systématique évalue l’efficacité clinique, l’efficacité théorique et l’innocuité du nirmatrelvir-ritonavir dans le traitement de l’infection par le SRAS-CoV-2 chez les adultes considérés comme à risque élevé, mais non hospitalisés. Nous avons également cherché à définir quels patients sont les plus susceptibles de tirer avantage du traitement par le nirmatrelvir-ritonavir.
Cette demande vise à détecter d’éventuels signaux de problème d’innocuité chez les adultes atteints de diabète de type 2 nouvellement traités par Ozempic comparativement à des patients au profil semblable nouvellement traités par la sitagliptine.
Le trouble de l’usage d’opioïdes représente un grave problème de santé publique au Canada. Les préparations de buprénorphine sont importantes dans le traitement de ce trouble, mais on ne connait pas avec certitude leur efficacité clinique, leur innocuité et leur rapport cout/efficacité comparatifs. Des examens antérieurs font état de peu de différences entre diverses préparations quant aux résultats cliniques, mais soulèvent des problèmes méthodologiques et un manque de données probantes canadiennes.
Santé Canada a effectué diverses évaluations du risque portant sur les fluoroquinolones par voie générale, ce qui l’a amenée en 2017 à prendre des mesures règlementaires, notamment la publication d’un Avis aux professionnels de la santé, la mise à jour des étiquettes de ces médicaments ainsi que la modification de leurs indications afin de refléter leur profil risques-avantages.
Cet examen évalue l’efficacité et l’innocuité des inhibiteurs de points de contrôle immunitaire utilisés en monothérapie contre le cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) avancé ou métastatique présentant des mutations des gènes EGFR, ALK, ROS1 ou RET chez des personnes ayant déjà reçu un traitement. Nous nous sommes penchés sur 13 revues systématiques portant sur des essais cliniques randomisés et avons relevé des lacunes critiques sur le plan de la méthodologie.