La quétiapine dans le traitement du trouble dépressif majeur : efficacité clinique, rapport cout/efficacité et lignes directrices

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Question(s)

  1. Quelle est l’efficacité clinique de la quétiapine dans le traitement du trouble dépressif majeur chez l’adulte?
  2. Quel est le rapport cout/efficacité de la quétiapine dans le traitement du trouble dépressif majeur chez l’adulte?
  3. Que disent les lignes directrices fondées sur des données probantes au sujet de la quétiapine dans le traitement du trouble dépressif majeur?

Messages clés

L’examen porte sur quatre revues systématiques, un essai comparatif randomisé et six études économiques. Nous avons également relevé deux ensembles de lignes directrices fondées sur des données probantes portant sur la quétiapine dans le traitement du trouble dépressif majeur.

Selon les constatations d’une métaanalyse en réseau, la quétiapine en monothérapie dans le traitement du trouble dépressif majeur chez les personnes âgées est plus efficace que plusieurs antidépresseurs. Toutefois, la robustesse de ce constat est incertaine en raison de l’absence de données comparatives.

L’efficacité de la quétiapine en matière de taux de réponse, de taux de rémission ou de symptômes de la dépression dans le traitement d’appoint de la dépression réfractaire au traitement n’est pas significativement différente de celle des interventions concurrentes, dont d’autres antipsychotiques atypiques, des antidépresseurs et le lithium. Les abandons de traitement pour cause d’évènements indésirables sont plus fréquents avec la quétiapine en appoint ou en monothérapie qu’avec le placébo, l’hormone thyroïdienne et le lithium. Les effets indésirables courants de la quétiapine en appoint ou en monothérapie sont la somnolence, la fatigue, la sècheresse buccale, la sédation, la céphalée, les étourdissements et le gain de poids.
Comparativement au brexpiprazole, la quétiapine en traitement d’appoint est associée à des couts médicaux totaux et à des couts de services en consultation externe bien plus élevés, mais à des couts de services pharmaceutiques moindres. Comparativement à l’aripiprazole, la quétiapine et l’olanzapine sont associées à un plus grand nombre d’hospitalisations et de visites aux urgences toutes causes confondues et à des couts médicaux totaux plus élevés. Dans les analyses cout/efficacité, la quétiapine en traitement d’appoint s’avère moins rentable que l’aripiprazole.

Les deux ensembles de lignes directrices recommandent la quétiapine en appoint lorsque la réponse aux antidépresseurs est insuffisante. Nous n’avons pas repéré de données probantes sur le mésusage ou l’abus de quétiapine par des patients atteints d’un trouble dépressif majeur.

Des essais cliniques méthodologiquement rigoureux sont nécessaires pour comparer directement la quétiapine en appoint ou en monothérapie à d’autres interventions. Des études cout/efficacité menées dans la perspective du système de soins de santé canadien sont également nécessaires. Les constatations actuelles ne sont pas forcément applicables au contexte canadien et, au vu de leurs limites, la prudence est de mise dans leur interprétation.

Les analogues des prostaglandines en usage ophtalmique : efficacité clinique et rentabilité comparatives et lignes directrices

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Question(s)

  1. Quelle est l'efficacité clinique comparative du bimatoprost et d'autres analogues des prostaglandines en usage ophtalmique?
  2. Quel est le rapport cout/efficacité comparatif du bimatoprost et d'autres analogues des prostaglandines en usage ophtalmique?
  3. Que disent les lignes directrices fondées sur des données probantes au sujet du recours au bimatoprost en cas d'hypertension oculaire?

Messages clés

Treize publications pertinentes sont incluses dans ce rapport : cinq revues systématiques (quatre métaanalyses et une métaanalyse en réseau), sept essais cliniques randomisés et une étude cout/efficacité. Nous n'avons pas trouvé d'ensemble de lignes directrices fondées sur des données probantes publiées au cours des cinq dernières années au sujet de l'utilisation du bimatoprost dans le traitement de l'hypertension oculaire.

Globalement, les résultats des revues systématiques et des essais cliniques semblent contradictoires. D'après les résultats des revues systématiques, le bimatoprost serait cliniquement supérieur aux autres analogues des prostaglandines (le latanoprost, le travoprost et le tafluprost) pour l'abaissement de la tension oculaire; en revanche, à l'exception d'un essai croisé, aucun des essais randomisés menés en parallèle n'appuie la supériorité clinique du bimatoprost. La plupart des études concluent que le profil clinique des quatre analogues à l'étude est semblable : les quatre réduisent efficacement la tension oculaire chez les patients atteints de glaucome à angle ouvert ou d'hypertension oculaire, sans égard aux traitements antérieurs ou à d'autres facteurs de risque. En ce qui concerne les évènements indésirables, le bimatoprost semble un peu moins bien toléré que les autres analogues; il peut entrainer de l'hyperémie et la croissance de cils. Ces résultats ne sont toutefois pas uniformes dans tous les essais, et les profils d'innocuité des quatre prostamides pourraient en fait être semblables. D'après une étude cout/efficacité des États-Unis, le bimatoprost est le médicament le plus rentable; l'étude a une méthodologie robuste et aborde différents points de vue (sociétal, assurance responsabilité civile, ophtalmique), mais il est difficile de savoir si ses résultats s'appliquent en contexte canadien.

Les résultats mélangés et peu concluants des différentes études pourraient s'expliquer par plusieurs facteurs : l'inclusion d'études hétérogènes sur le plan de la population de patients, des interventions (y compris la posologie), de l'évaluation des résultats ou du plan; des limites méthodologiques découlant de la petite taille des échantillons et d'une mauvaise présentation des données. De façon générale, le bimatoprost semble être au moins aussi efficace que le latanoprost, le travoprost et le tafluprost, en monothérapie comme en combinaison avec le timolol. Il semble toutefois être le prostamide le plus rentable, de sorte qu'il pourrait être l'option à privilégier.

L’activité physique dans la prise en charge de la gonalgie chronique causée par l’arthrose : efficacité clinique

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Question(s)

  1. Quelle est l’efficacité clinique de l’activité physique dans la prise en charge de la gonalgie chronique causée par l’arthrose?

Messages clés

Deux revues systématiques classiques et une revue systématique parapluie laissent croire que, chez les patients souffrant de gonarthrose, l’activité physique réduit significativement la douleur et améliore le fonctionnement et la qualité de vie liée à la santé comparativement aux soins usuels (dont la définition n’est pas uniforme), à l’absence de traitement et aux interventions simulées.

Des données probantes limitées tirées d’une revue systématique indiquent que l’activité physique entraine une plus grande augmentation temporaire de la douleur mineure qu’une intervention simultanée; il n’y a aucune différence quant à la douleur, aux chutes ou au décès. En outre, selon des données probantes limitées issues d’une revue systématique incluse dans la revue parapluie, la pratique, durant trois à trente semaines, d’activité à faible impact alliant musculation, étirements et aérobie n’est pas associée à des évènements indésirables graves chez les personnes âgées; il n’y a pas de différence significative dans le nombre d’arthroplasties totales du genou entre les patients ayant fait de l’activité physique et les témoins qui n’en ont pas fait, et ce, durant une période d’observation durant de deux à vingt-quatre mois.

Parmi les sources d’incertitude, mentionnons le fait que les revues systématiques portent sur des études dont la qualité méthodologique est mauvaise ou douteuse. De plus, les trois revues recensées font état d’une importante hétérogénéité dans les études qu’elles englobent, et il n’y a pas de définition uniforme de ce qui constitue les « soins usuels » ni d’information sur la durée des symptômes, les caractéristiques cliniques, les affections comorbides et les traitements simultanés. Il est donc difficile de savoir si les résultats sont attribuables aux interventions à l’étude ou si d’autres facteurs sont entrés en ligne de compte.

Nous n’avons trouvé aucune étude examinant l’efficacité clinique comparative de l’activité physique par rapport aux interventions pharmacologiques chez les personnes atteintes de gonarthrose.

La pharmacogénomique pour orienter le traitement de la dépression : efficacité clinique, rapport cout/efficacité et lignes directrices

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Question(s)

  1. Quelle est l’efficacité clinique de l’analyse pharmacogénomique dans le traitement de la dépression, quelle qu’en soit la gravité?
  2. Quel est le rapport cout/efficacité de l’analyse pharmacogénomique dans le traitement de la dépression, quelle qu’en soit la gravité?
  3. Que disent les lignes directrices fondées sur des données probantes au sujet de l’analyse pharmacogénomique dans le traitement de la dépression, quelle qu’en soit la gravité?

Messages clés

L’examen porte sur une évaluation de la technologie de la santé, deux revues systématiques avec métaanalyse, un essai comparatif randomisé et trois évaluations économiques examinant la pharmacogénomique par rapport au traitement usuel dans la prise en charge de la dépression, quelle qu’en soit la gravité. 

L’évaluation de la technologie de la santé indique que les données probantes sur l’analyse pharmacogénomique dans la prise en charge des troubles dépressifs sont limitées et de qualité faible ou très faible pour les différents résultats mesurés. Les auteurs concluent à l’impossibilité de tirer une conclusion au sujet de l’utilisation clinique de la pharmacogénomique pour cause d’insuffisance des données probantes. Une revue systématique avec métaanalyse constate que la prescription guidée par la pharmacogénomique a un effet positif sur la probabilité d’une rémission symptomatique, mais que cela pourrait ne s’appliquer qu’aux personnes atteintes d’une dépression modérée à grave ayant des antécédents de réponse insuffisante ou d’intolérance aux psychotropes utilisés déjà. L’autre revue systématique avec métaanalyse révèle que les données probantes sont limitées en qualité et en quantité et que les études originales évoquant un effet positif de l’analyse pharmacogénomique dans la prise en charge de la dépression majeure sont de faible qualité pour la plus grande partie. L’essai comparatif randomisé ne détecte pas de différence significative dans l’atténuation des symptômes dépressifs ou l’innocuité entre le traitement guidé par la pharmacogénomique et le traitement usuel.

L’évaluation de la technologie de la santé mentionne que les résultats d’une étude cout/efficacité suggèrent que l’analyse pharmacogénomique est modérément rentable, car la probabilité d’un rapport cout/efficacité différentiel en deçà du seuil international de 1 926 $ est de 90 %, tandis qu’une autre étude estime que l’analyse pharmacogénomique ne serait pas rentable si on en juge par rapport au seuil courant de disposition à payer de 50 000 $ l’année de vie ajustée en fonction de la qualité. L’une des revues systématiques rapporte que la probabilité que l’analyse pharmacogénomique soit rentable à ce seuil de disposition à payer est de 94,5 %. L’une des trois évaluations économiques ne peut en arriver à une conclusion sur la rentabilité du dépistage du cytochrome CYP2D6 en soins de santé primaires chez les patients traités par un antidépresseur. Selon deux évaluations économiques, l’analyse pharmacogénomique est dominante par rapport au traitement usuel.

L’ensemble de lignes directrices inclus dans l’évaluation de la technologie de la santé recommande le suivi thérapeutique pharmacologique et le génotypage comme mesures susceptibles d’être instructives en cas de non-observance thérapeutique.

La pilocarpine dans le traitement de la sècheresse buccale et oculaire induite par la radiothérapie : efficacité clinique, rapport cout/efficacité et lignes directrices

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Question(s)

  1. Quelle est l’efficacité clinique de la pilocarpine dans le traitement de la sècheresse buccale causée par la radiothérapie d’un cancer de la tête ou du cou?
  2. Quel est le rapport cout/efficacité de la pilocarpine dans le traitement de la sècheresse buccale causée par la radiothérapie d’un cancer de la tête ou du cou?
  3. Quelle est l’efficacité clinique de la pilocarpine dans le traitement de la sècheresse oculaire causée par la radiothérapie d’un cancer de la tête ou du cou?
  4. Quel est le rapport cout/efficacité de la pilocarpine dans le traitement de la sècheresse oculaire causée par la radiothérapie d’un cancer de la tête ou du cou?
  5. Que disent les lignes directrices fondées sur des données probantes au sujet de la pilocarpine dans le traitement de la sècheresse buccale et oculaire causée par la radiothérapie d’un cancer de la tête ou du cou?

Messages clés

Nous avons relevé deux revues systématiques, dont une avec métaanalyse, examinant l’efficacité clinique de la pilocarpine dans le traitement de la sècheresse buccale causée par la radiothérapie de la tête ou du cou.

Dans ces revues systématiques, le risque de biais est élevé, et les conclusions reposent sur des études de qualité limitée. Une étude ne constate pas de différence entre le rince-bouche de pilocarpine et les substituts salivaires, tandis qu’une autre observe que les patients sont plus nombreux à répondre favorablement aux pastilles de pilocarpine à 5 mg, par rapport aux comprimés, aux pastilles à teneur plus faible et aux pastilles inactives.

L’ensemble de lignes directrices fondées sur des données probantes recensé porte sur la pilocarpine dans le traitement de la sècheresse buccale induite par la radiothérapie de la tête ou du cou; il recommande la pilocarpine, si possible.
Nous n’avons pas repéré de données probantes sur le rapport cout/efficacité de la pilocarpine dans le traitement de la sècheresse buccale causée par la radiothérapie de la tête ou du cou non plus que de données probantes au sujet de l’efficacité clinique et du rapport cout/efficacité de la pilocarpine dans le traitement de la sècheresse oculaire causée par la radiothérapie de la tête ou du cou.

Dans l’interprétation des résultats, il convient de tenir compte des limites des études retenues, dont le haut risque de biais des études originales faisant l’objet des revues systématiques, et des données probantes de piètre qualité sur lesquelles se fondent les recommandations.

Instauration de la clozapine dans le traitement de la schizophrénie : efficacité clinique et lignes directrices

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Question(s)

  1. Quelle est l’efficacité clinique de la clozapine durant la phase d’instauration du traitement de la schizophrénie en consultation externe, en milieu hospitalier ou en clinique dans la collectivité?
  2. Que disent les lignes directrices fondées sur des données probantes au sujet de la surveillance clinique du patient pendant l’instauration de la clozapine dans le traitement de la schizophrénie?

Messages clés

Les revues systématiques, de qualité limitée, portent essentiellement sur les complications cardiaques durant l’instauration de la clozapine. La myocardite, la tachycardie, l’hypertension, l’hyperglycémie et le décès sont des effets secondaires de la clozapine. Le délai moyen d’apparition des effets secondaires va de 14 jours à 7 semaines après la première dose de clozapine; une étude fait état de fluctuations de la fréquence cardiaques dans les deux ou trois premiers jours du traitement. Aucune des études recensées ne compare la clozapine à d’autres antipsychotiques durant la phase d’instauration.

Les lignes directrices recommandent la surveillance clinique du patient durant la phase d’instauration de la clozapine et en précisent les modalités; la force des recommandations varie, certaines s’appuient sur des essais comparatifs randomisés, d’autres sur des études non analytiques ou l’opinion d’experts. Des données probantes non classées selon un niveau de preuve suggèrent l’évaluation des antécédents, du poids, du tour de taille, de la glycémie et de la lipidémie à jeun, du taux de prolactine, de l’hémogramme, de l’électrocardiogramme, de l’électroencéphalogramme et de la santé oculaire, ainsi qu’un test de grossesse, chez la personne à qui l’on prescrit un antipsychotique. On ne sait pas vraiment quel est le niveau de preuve scientifique des données étayant le bienfondé de ces évaluations.

L'intelligence artificielle dans la classification des nodules pulmonaires : utilité clinique, exactitude diagnostique, rapport cout/efficacité et lignes directrices

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Question(s)

  1. Quelle est l’utilité clinique de l’intelligence artificielle dans la classification des nodules au dépistage, à la détection fortuite ou en cas de cancer du poumon connu ou suspecté?
  2. Quelle est l’exactitude diagnostique de l’intelligence artificielle dans la classification des nodules au dépistage, à la détection fortuite ou en cas de cancer du poumon connu ou suspecté?
  3. Quel est le rapport cout/efficacité de l’intelligence artificielle dans la classification des nodules au dépistage, à la détection fortuite ou en cas de cancer du poumon connu ou suspecté?
  4. Que disent les lignes directrices fondées sur des données probantes au sujet de l’intelligence artificielle dans la classification des nodules au dépistage, à la détection fortuite ou en cas de cancer du poumon connu ou suspecté?

Messages clés

Nous avons répertorié sept études cas-témoins examinant l’exactitude diagnostique de l’intelligence artificielle pour classer les nodules au dépistage, à la détection fortuite ou dans le cas de tumeurs pulmonaires malignes connues ou suspectées. Nous n’avons pas recensé de sources de données probantes sur le rapport cout/efficacité ou l’utilité clinique de l’intelligence artificielle dans la classification des nodules au dépistage, à la découverte fortuite ou en cas de cancer du poumon connu ou suspecté ni de lignes directrices fondées sur des données probantes à ce propos.  Les résultats des études cas-témoins sont disparates. Deux études rapportent que les modèles d’intelligence artificielle sont nettement plus exacts dans la classification des nodules que des radiologistes classant les nodules en fonction du Lung CT Screening Reporting and Data System de l’American College of Radiologists. Deux études rapportent de manière descriptive que les modèles d’intelligence artificielle sont plus exacts dans la classification des nodules que l’observation humaine. En revanche, trois études constatent que les modèles d’intelligence artificielle sont comparables à des observateurs humains, voire moins exacts (test statistique dans une étude, résultats descriptifs dans deux études). Trois études, qui font état de manière descriptive de la sensibilité et de la spécificité, en arrivent à des valeurs de sensibilité et de spécificité plus élevées pour l’intelligence artificielle que pour les comparateurs respectifs dans le diagnostic d’un cancer du poumon.

Il pourrait être prématuré de tirer une conclusion au sujet de l’intelligence artificielle dans la classification des nodules pulmonaires au vu de la rareté des données probantes sur l’utilité clinique et le rapport cout/efficacité et des lignes directrices, et au vu des résultats disparates et des lacunes méthodologiques observées dans les études sur l’exactitude diagnostique.

Le rituximab dans le traitement de la glomérulonéphrite extramembraneuse primitive

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La glomérulonéphrite extramembraneuse primitive est une maladie auto-immune qui se manifeste habituellement par un syndrome néphrotique. Le traitement de cette maladie vise à induire une rémission. Actuellement, les options de prise en charge thérapeutique reposent sur les inhibiteurs de la calcineurine (cyclosporine ou tacrolimus), le cyclophosphamide et le rituximab.

Les systèmes hybrides d’administration d’insuline en boucle fermée dans la prise en charge thérapeutique du diabète de type 1

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Le système hybride d’administration d’insuline en boucle fermée est une technologie naissante destinée à la prise en charge thérapeutique du diabète de type 1. Le système est constitué d’une pompe à insuline, d’un glucomètre qui fonctionne en continu et d’un programme d’ordinateur. Il utilise l’information provenant du glucomètre pour déterminer automatiquement les besoins en insuline au cours de la journée et faire en sorte que la glycémie de l’utilisateur demeure dans un écart de valeurs prédéterminé.

Le rituximab ou la cyclosporine dans le traitement de la glomérulonéphrite extramembraneuse : évaluation critique de l’étude MENTOR

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La glomérulonéphrite extramembraneuse est une maladie auto-immune qui se manifeste souvent comme un syndrome néphrotique. Les directives cliniques actuelles recommandent le traitement par le cyclophosphamide et des corticostéroïdes, mais le traitement par la cyclosporine ou le tacrolimus est aussi possible.